Les clientes apprécient vraiment l’utilisation des cartes durant leur consultation. Il faut dire que cela tombe toujours pile sur les croyances…
Par exemple, une dame a tiré la carte : « J’ai peur de faire pitié… ». Ce n’était pas seulement lié à une famille qui avait souffert de la privation. Dans son cas, toutes ses connaissances qui avaient minci étaient, selon ses termes, de véritables pétasses… cela créait un blocage inconscient. Cela l’a également amenée à réfléchir à son rapport aux autres, aux jugements tranchés qu’elle portait sur les gens quand elle n’était pas à l’aise avec eux. Et à changer de comportement vis-à-vis des autres.
En tant que thérapeute, ces cartes « Change boite rose » me donnent un bon appui pour aider mes clientes à s’ouvrir, à prendre conscience de leurs problèmes, de leurs croyances limitantes souterraines, sans passer par une anamnèse qui les mette mal à l’aise et qui ne dit pas tout, ou qui ne dit que ce qui est conscient. Cela ouvre le débat, parfois intérieur.
Je tire 1 à 3 cartes. C’est ce qu’on appelle une séance transpersonnelle. Reliée à la cliente et en observant ses réactions, je présente les illustrations en parlant de la croyance au dos de la carte: ce dessin que tu regardes est lié à la croyance limitante que …
Je fais parler la personne sur le dessin : qu’est-ce qu’il t’inspire ? qu’est-ce que tu ressens ?
Si les 3 cartes tirées ont le thème d’une carte de transformation en commun, je vais travailler sur ce thème avec mes techniques d’accompagnement. 

Sylvie, coach nutritionnel

Je propose une carte à ma cliente. Elle prend connaissance de la croyance tirée au sort. Et j’observe ses réactions. Alors, je la fais « travailler » sur ce qui se présente. C’est assez étonnant, il y a toujours quelque chose qui se présente. Ensuite, la cliente observe le dessin et le relie à l’objet de la carte. Avant de partir, elle  peut photographier le dessin de la carte pour le conserver, en faire un fond d’écran ou l’imprimer. Il agit alors comme un « ancrage » pour l’aider à avancer dans sa nouvelle compréhension d’elle-même.

Marie